Via @sophiepene : Une “ professeur des écoles” de Denver fâchée contre Race to the Top, un programme fédéral d’évaluation des écoles

L’idée de mon interlocutrice est que les démocrates (elle vote démocrate elle-même) sont sous l’emprise d’un mouvement de destruction de l’éducation publique : l’Etat ne sait pas faire, laissons faire l’initiative privée. A la source de cette atteinte profonde elle voit de grands acteurs, au premier rang desquels la fondation Bill et Melinda Gates, qui ont donné à l’éducation une place majeure dans leur action et ont les moyens d’influencer la politique publique à l’échelle fédérale.

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L’avenir de Sciences-Po vu par Frédéric Mion ? Ni très numérique, ni très innovant ?

Drôles de propositions de Frédéric Mion pour sciences-po :

  • Le diplôme en trois ans est concurrencé par les « colleges » américains et leur pédagogie plus horizontale ? Rétablissons le grand oral et les épreuves scientifiques pour « renforcer » cette première étape.
  • Trop de filles réussissent le concours ? « Rebattons les cartes » pour qu’elles soient moins nombreuses.
  • Sciences-Po est présent dans toute la France ? Re-centralisons autour de Paris, c’est la mode.
  • Au-delà de la 3e année, il faut professionnaliser car c’est la seule façon de disposer d’une offre « claire ». Laissons la recherche fondamentale à Harvard, Stanford ou Columbia.

Et rien sur le numérique naturellement… ni sur les sciences cognitives, le DIY ou l’entrepreneuriat.

Via Le Monde : Sciences Po Paris veut muscler ses trois premières années.

Sciences Po Paris veut muscler ses trois premières années