« L’informatique et les systèmes embarqués ne font pas rêver les jeunes ingénieurs, qui partent ailleurs. « C’est plus agréable d’aller travailler dans la finance que de s’occuper du service informatique d’un grand moulin », résume Jean-Marie Chesneaux, vice-président de la Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs. »
Et franchement, comment les blâmer ? A compétence égale, c’est-à-peine si on ne vous considère pas comme un réparateur externe à l’entreprise venu seulement pour régler les problèmes de mail et de wifi. Et au-delà des ingénieurs qui sont encore relativement bien traités, quid des designers, des technologues, des intellectuels du numérique, etc. On s’amuse à comparer les salaires entre ici et les Etats-Unis ?